"Le texte de la Torah est une braise sous la cendre de ses lettres, la vivacité de la flamme qu'on en tire dépend de la longueur du souffle de celui qui l'anime".
Lec commentaires sont souvent superflus. Ou bien le texte a tout dit ou, souvent, ce sont des mots sur des mots ...
M
Maria-D
30/01/2012 08:15
Ceci, je prends sans commentaire.
A
Amezeg
24/01/2012 23:58
Ainsi en va-t-il des rêves : braises sous la cendre du vivant qui somnole, la vivacité de leur flamme n’éclaire vraiment que celui qui prête assez longuement l’oreille à leur parole assidue.<br />
<br />
Amezeg
Présentation
:
Extraits du Laboratoire d'Ariaga
:
Un lieu de recherche sur C.G. Jung et la pensée philosophique en général.